Lorsqu’elle débarque au Québec pour les vacances de février, Candice fait immédiatement deux constats très inquiétants. Premièrement, il fait froid. Très, très froid. Ce qu’elle était loin de s’imaginer quand elle a préparé ses valises (comment ça sa petite doudoune ne va pas suffire ?). Deuxièmement, sa cousine n’est pas là, et impossible de la joindre. Alors, quand l’aéroport annonce sa fermeture imminente et qu’un charmant inconnu à l’accent aussi improbable que sa coupe de cheveux lui propose de lui servir de taxi, Candice accepte...
Éditeur: Harlequin (Nouvelle d'une trentaine de page)
Genre: Chick-lit
Dès les premières lignes nous plongeons dans le bon ton et l'humour d'Angela Morelli, que j'aime tant. Les moments, même les plus anxieux, sont teintés d'humour. J'ai apprécié le fait, que cette fois-ci, l'histoire se passe au Québec, plus précisément à Montréal. La trame de l'histoire n'est pas très originale, mais cela ne m'a pas empêché de la trouver agréable à lire. Les moments cocasses s'enchaînent, et ce, sans entrer dans l'exagération.
J'ai aimé que l'auteure aborde la difficulté linguistique qu'il y a entre les français et les québécois, même si nous parlons la même langue. Je me suis délecté de cette incompréhension et des dialogues qui ont été créé. Dans cette nouvelle, Angela a un côté d'autodérision. Quoique Parisienne, elle a trouvé le tour de rire gentiment de certains côtés des parisiens et de leur accent. Ça donne un bon ton et une belle tournure à l'histoire.
Petit bémol: j'ai trouvé la fin courte, rapide. Je lui aurais aimé quelques pages de plus, quelque chose de plus fluide, moins coupé radicalement. J'ai l'impression, malheureusement, qu'il n'y a pas vraiment de fin. En bref: l'histoire est légère et agréable. L'humour au rendez-vous. Mais j'ai eu l'impression qu'il manque un petit quelque, surtout pour la fin qui semble inachevée.
De la même auteure:
Sous le gui: X
Ça a commencé comme ça: X
J'ai aimé que l'auteure aborde la difficulté linguistique qu'il y a entre les français et les québécois, même si nous parlons la même langue. Je me suis délecté de cette incompréhension et des dialogues qui ont été créé. Dans cette nouvelle, Angela a un côté d'autodérision. Quoique Parisienne, elle a trouvé le tour de rire gentiment de certains côtés des parisiens et de leur accent. Ça donne un bon ton et une belle tournure à l'histoire.
Petit bémol: j'ai trouvé la fin courte, rapide. Je lui aurais aimé quelques pages de plus, quelque chose de plus fluide, moins coupé radicalement. J'ai l'impression, malheureusement, qu'il n'y a pas vraiment de fin. En bref: l'histoire est légère et agréable. L'humour au rendez-vous. Mais j'ai eu l'impression qu'il manque un petit quelque, surtout pour la fin qui semble inachevée.
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