Trois histoires s’entrecroisent : en 1937, Marie-Juliette cuisine par nécessité et rêve de devenir chef ; en 1967, Hélène cuisine par obligation et rêve d’une vie meilleure pour elle et ses enfants ; en 2016, Émilie cuisine par défi et rêve d’ouvrir un restaurant. Ces trois fonceuses prennent le pari de s’inventer une vie qui leur ressemble. Et si leurs stratégies pour y arriver sont bien différentes, celles-ci ont un point commun : le bonheur de ces femmes passe par la cuisine… et par le contenu d’une vieille valise verte.
Éditeur: Druide
Genre: Récit
Parution: Mai 2016
Ce livre traînait dans ma bibliothèque depuis au moins deux ans. Je le repoussais toujours, choisissant une autre lecture. Je peux vous confirmer que je n'aurais pas dû attendre si longtemps. Je l'ai tellement aimé que c'est un de mes coups de cœur de l'année. Les personnages féminins m'ont tous émue, surtout Marie-Juliette. Elle est ma protagoniste préférée de cette histoire grâce à ses remises en question, son intelligence et ses rêves. Et ses parents, ils ont une grande ouverture d'esprit. Ils sont généreux et inspirent à devenir meilleur et à être à l'écoute de notre progéniture.
Un fil conducteur unit les trois femmes: une valise verte ayant appartenu à l'une et à l'autre à trois époques distinctes. Il y a Émilie, une jeune maman épaulée et encouragée par son conjoint dans son aventure d'ouvrir un restaurant, Hélène qui se retrouve en situation de divorce, en 1967, qui décide de partir un service de traiteur avec deux enfants sur les bras et, enfin, Marie-Juliette, une adolescente dans les années 1930 qui a de grands rêves idéalistes et avant-gardistes pour une femme de sa génération. Elles sont trois modèles féminins considérables qui peuvent transmettre à d'autres la force et l'envie de prendre leur vie en main, tel qu'elles le désirent, de la façon qu'elles le veulent et à faire fi des connivences et des qu'en dira-t-on.
L'humour teint ces lignes. C'est frais et léger. Zut! J'ai raté mon gâteau est une lecture bien sympathique agrémentée de commentaires entre parenthèses qui font assurément sourire. De plus, les recettes expérimentées par les trois femmes sont détaillées dans le roman et donnent inévitablement l'eau à la bouche. J'ai bien l'intention de mettre la main à la pâte pour en essayer quelques-unes. C'est un livre réconfortant, tant au niveau littéraire que culinaire, et revigorant face à nos objectifs de vie.
Ce livre traînait dans ma bibliothèque depuis au moins deux ans. Je le repoussais toujours, choisissant une autre lecture. Je peux vous confirmer que je n'aurais pas dû attendre si longtemps. Je l'ai tellement aimé que c'est un de mes coups de cœur de l'année. Les personnages féminins m'ont tous émue, surtout Marie-Juliette. Elle est ma protagoniste préférée de cette histoire grâce à ses remises en question, son intelligence et ses rêves. Et ses parents, ils ont une grande ouverture d'esprit. Ils sont généreux et inspirent à devenir meilleur et à être à l'écoute de notre progéniture.
Un fil conducteur unit les trois femmes: une valise verte ayant appartenu à l'une et à l'autre à trois époques distinctes. Il y a Émilie, une jeune maman épaulée et encouragée par son conjoint dans son aventure d'ouvrir un restaurant, Hélène qui se retrouve en situation de divorce, en 1967, qui décide de partir un service de traiteur avec deux enfants sur les bras et, enfin, Marie-Juliette, une adolescente dans les années 1930 qui a de grands rêves idéalistes et avant-gardistes pour une femme de sa génération. Elles sont trois modèles féminins considérables qui peuvent transmettre à d'autres la force et l'envie de prendre leur vie en main, tel qu'elles le désirent, de la façon qu'elles le veulent et à faire fi des connivences et des qu'en dira-t-on.
L'humour teint ces lignes. C'est frais et léger. Zut! J'ai raté mon gâteau est une lecture bien sympathique agrémentée de commentaires entre parenthèses qui font assurément sourire. De plus, les recettes expérimentées par les trois femmes sont détaillées dans le roman et donnent inévitablement l'eau à la bouche. J'ai bien l'intention de mettre la main à la pâte pour en essayer quelques-unes. C'est un livre réconfortant, tant au niveau littéraire que culinaire, et revigorant face à nos objectifs de vie.
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