Depuis qu’il a croisé son sourire mélancolique derrière l’objectif de son appareil photo deux ans plus tôt, Elliott n’a jamais cessé d’aimer Catherine. Pourtant, la même année, il a été obligé de quitter la ville, la laissant seule au moment où elle avait le plus besoin de lui…
Aujourd’hui, Elliott rentre enfin et il est bien décidé à reprendre le fil de cette histoire d’amour qu’il n’a jamais oubliée. Mais Catherine ne lui a pas pardonné son départ, et le secret qui pèse sur elle pourrait étouffer à tout jamais l’étincelle de leur amour.
Éditeur: Michel Lafon
Genre: Romance / Suspense
Parution: Février 2019
Les deux personnages principaux de ce roman m'ont touchée à leur façon, avec leurs failles, leurs vulnérabilités et leurs valeurs. Tout d'abord, il y a Elliott. Ce dernier est un jeune garçon de onze ans sensible à la beauté de ce qui l'entoure et aux émotions des gens qui le fréquentent. Cet aspect de sa personnalité a probablement un lien avec sa situation familiale qui n'est pas évidente à vivre. De l'autre côté, on rencontre Catherine. Elle et son père partagent une belle relation comme en témoignent les gestes, les commentaires, les regards affectueux et les surnoms de son paternel à son égard.
Le temps passe et on les retrouve à l'adolescence, changés. Catherine est plus renfermée depuis qu'elle assume une trop grosse part de responsabilité à la Villa Juniper, son seul et unique refuge. Elle veille sur sa mère et tout ce que cela englobe en détriment de sa propre liberté. Inévitablement, j'ai éprouvé de l'empathie pour cette jeune fille qui s'en met trop sur les épaules. Elliott transporte, lui aussi, un lourd bagage et il galère à contrôler la haine qui gronde en lui. La romance qui éclot entre eux est mignonne puisque chacun d'entre eux veut le meilleur pour l'autre, peu importe ce que cela coûte au final.
J'ai ressenti plusieurs émotions pendant cette lecture: de la peine vis-à-vis le deuil de Catherine et pour la petite Poppy délaissée, de la colère envers le racisme et l'injustice que subit Elliott ainsi que de la reconnaissance pour la bienveillance d'Althea. Ce roman expose le meilleur et le pire de l'être humain, des personnages qui nous glacent le sang et d'autres qui nous réchauffent le cœur. Le dénouement m'a laissée sans voix. Je pensais avoir compris le secret qu'entoure la Villa Juniper, mais pas du tout. J'adore me faire surprendre comme ça, être déboussolée pendant quelques secondes par les révélations. Les relations familiales houleuses, la romance naissante, le mystère de la Villa Juniper ainsi qu'un événement tragique qui arrive sans prévenir m'ont captivée du début à la fin.
Les deux personnages principaux de ce roman m'ont touchée à leur façon, avec leurs failles, leurs vulnérabilités et leurs valeurs. Tout d'abord, il y a Elliott. Ce dernier est un jeune garçon de onze ans sensible à la beauté de ce qui l'entoure et aux émotions des gens qui le fréquentent. Cet aspect de sa personnalité a probablement un lien avec sa situation familiale qui n'est pas évidente à vivre. De l'autre côté, on rencontre Catherine. Elle et son père partagent une belle relation comme en témoignent les gestes, les commentaires, les regards affectueux et les surnoms de son paternel à son égard.
Le temps passe et on les retrouve à l'adolescence, changés. Catherine est plus renfermée depuis qu'elle assume une trop grosse part de responsabilité à la Villa Juniper, son seul et unique refuge. Elle veille sur sa mère et tout ce que cela englobe en détriment de sa propre liberté. Inévitablement, j'ai éprouvé de l'empathie pour cette jeune fille qui s'en met trop sur les épaules. Elliott transporte, lui aussi, un lourd bagage et il galère à contrôler la haine qui gronde en lui. La romance qui éclot entre eux est mignonne puisque chacun d'entre eux veut le meilleur pour l'autre, peu importe ce que cela coûte au final.
J'ai ressenti plusieurs émotions pendant cette lecture: de la peine vis-à-vis le deuil de Catherine et pour la petite Poppy délaissée, de la colère envers le racisme et l'injustice que subit Elliott ainsi que de la reconnaissance pour la bienveillance d'Althea. Ce roman expose le meilleur et le pire de l'être humain, des personnages qui nous glacent le sang et d'autres qui nous réchauffent le cœur. Le dénouement m'a laissée sans voix. Je pensais avoir compris le secret qu'entoure la Villa Juniper, mais pas du tout. J'adore me faire surprendre comme ça, être déboussolée pendant quelques secondes par les révélations. Les relations familiales houleuses, la romance naissante, le mystère de la Villa Juniper ainsi qu'un événement tragique qui arrive sans prévenir m'ont captivée du début à la fin.
pour ce roman surprenant
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