
Éditeur : AdA
Genre : Policier
Parution : Mars 2016
Je n'ai pas pu résister longtemps à lire le deuxième tome de cette série. En commençant, nous avons des informations au sujet de Pierre et de quelques décisions qu'il a prises au courant de la dernière année. Il est agréable de retrouver des personnages connus dont Luigi, le majordome italien, encore bien poli et Mia, la chauffeuse d'Oswald, toujours solide sur ses deux jambes.
De par son attitude un peu plus désagréable et solitaire qu'à l'habitude, nous pouvons détecter qu'il se passe quelque chose dans la tête d'Oswald. Cependant, il reste le même avec un petit quelque chose qui m'intrigue, un pouvoir d'attraction. Je l'apprécie beaucoup, peut-être grâce à son caractère ; il ne se laisse pas perturber par grands choses, ni grandes réactions. Il reste totalement en possession de ses moyens et gère bien les situations.
Pierre, en voulant changer les idées d'Oswald, l'amène en France visiter son neveu Mathieu. Pierre se retrouvera malgré lui à être témoin d'une horrible scène : un homme tuméfié. Leur petite visite tranquille se transformera assez vite en enquête.
Le sujet de la guerre a été exploité sous un angle intéressant. Par le biais du journal d'un soldat, Rousseau nous fait faire avec brio, de temps en temps, un saut dans le passé. Ces écrits sont fascinants et concrets. L'auteur nous met face à une partie de l'horreur de ce que les soldats ont dû subir. Le réalisme est tangible à un point tel que cela vient nous chercher ; c'est poignant.
Les informations apportées ajoutent de la richesse au récit ; l'auteur nous sème quelques notions d'art et d'histoire, ici et là, suivant le périple de nos personnages. Il nous documente sur les statues, les sculptures et évidemment, beaucoup sur la guerre et ce qui lui est lié.
Mais qui est le coupable ? Qu'est-ce qui relie toutes les victimes ? C'est une des premières fois que le coupable me fait ressentir des sentiments ambivalents, contradictoires. Vous allez voir, c'est troublant!
Rousseau ne laisse rien en suspens, et encore une fois, il aura su me surprendre. La fin m'a procurée la chair de poule avec l’événement central. De plus, j'ai élargi mes connaissances puisque le texte m'a intriguée et m'a amenée à faire des recherches. Il est clair que l'auteur saura vous sensibiliser aux conséquences de la guerre, que cela ait été son but, ou non. Je n'ai jamais été une grande passionnée de tout ce qui se rapporte à la guerre, mais j'ai adoré cette lecture!
De par son attitude un peu plus désagréable et solitaire qu'à l'habitude, nous pouvons détecter qu'il se passe quelque chose dans la tête d'Oswald. Cependant, il reste le même avec un petit quelque chose qui m'intrigue, un pouvoir d'attraction. Je l'apprécie beaucoup, peut-être grâce à son caractère ; il ne se laisse pas perturber par grands choses, ni grandes réactions. Il reste totalement en possession de ses moyens et gère bien les situations.
Pierre, en voulant changer les idées d'Oswald, l'amène en France visiter son neveu Mathieu. Pierre se retrouvera malgré lui à être témoin d'une horrible scène : un homme tuméfié. Leur petite visite tranquille se transformera assez vite en enquête.
Le sujet de la guerre a été exploité sous un angle intéressant. Par le biais du journal d'un soldat, Rousseau nous fait faire avec brio, de temps en temps, un saut dans le passé. Ces écrits sont fascinants et concrets. L'auteur nous met face à une partie de l'horreur de ce que les soldats ont dû subir. Le réalisme est tangible à un point tel que cela vient nous chercher ; c'est poignant.
Les informations apportées ajoutent de la richesse au récit ; l'auteur nous sème quelques notions d'art et d'histoire, ici et là, suivant le périple de nos personnages. Il nous documente sur les statues, les sculptures et évidemment, beaucoup sur la guerre et ce qui lui est lié.
Mais qui est le coupable ? Qu'est-ce qui relie toutes les victimes ? C'est une des premières fois que le coupable me fait ressentir des sentiments ambivalents, contradictoires. Vous allez voir, c'est troublant!
Rousseau ne laisse rien en suspens, et encore une fois, il aura su me surprendre. La fin m'a procurée la chair de poule avec l’événement central. De plus, j'ai élargi mes connaissances puisque le texte m'a intriguée et m'a amenée à faire des recherches. Il est clair que l'auteur saura vous sensibiliser aux conséquences de la guerre, que cela ait été son but, ou non. Je n'ai jamais été une grande passionnée de tout ce qui se rapporte à la guerre, mais j'ai adoré cette lecture!
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