« Au début, on a perdu le WiFi dans nos maisons et les petites barres sur nos téléphones, et déjà c'était la fin du monde. Peu après, des milliers de personnes sont mortes mais on ne le savait pas PARCE QU'ON N'AVAIT PLUS DE WIFI. »
Une fille pas trop poussiéreuse est un roman d'amour et d'apocalypse. Un roman d'embrassades et d'amputations. Un roman comique dans lequel tout le monde meurt.
Éditeur: Stanké
Genre: Drame / Science-fiction
Parution: Octobre 2019
Le premier livre que j'ai lu de cet auteur ne m'avait pas convaincue, mais le résumé de celui-ci m'a poussée à lui donner une deuxième chance, et j'en suis bien contente. Une fille pas trop poussiéreuse est un roman que j'ai trouvé sensible, drôle, émouvant et dur qui fait ressortir ce qui est beau dans un monde défraîchi et terne. L'auteur démontre que la beauté de quelque chose ou de quelqu'un est davantage une question de perception et que, tout dépendamment des situations, notre vision change, évolue.
Au fil de la lecture, on croise la route de gens qui attendent la fin tout en se délectant de ce qu'ils peuvent, des petits bonheurs simples de la vie. Ce bouquin remet, par moment, des choses en place en semant des remises en question résultant à une certaine introspection. On prend conscience que nos trois ou quatre jours sans électricité ne sont, décidément, pas si pires que cela. Et si vous n'aviez pratiquement plus rien, que vous saviez que la fin du monde est arrivée, que feriez-vous de vos dernières heures?
Ce que j'ai préféré dans ce roman c'est l'écriture de l'auteur: sa façon de jouer avec les mots et les homonymes, de composer des phrases en plaçant les mots dans un ordre plutôt inhabituel. C'est un récit étonnamment beau et, contre toute attente, drôle avec des clins d’œil, disséminés ici et là, sur des personnalités (chanteur, coureuse, joueur de hockey) et des éléments assez connus. Le personnage principal, Matthieu, noue des liens avec les individus qu'il rencontre sur son chemin. Des liens de courtes durées, éphémères, mais forts. D'ailleurs, son amitié avec le jeune Thomas m'a définitivement touchée. C'est un roman qui invite à profiter du moment présent, des gens qui nous entourent et de ce que l'on possède. Un livre dont la simplicité partage un message puissant.
Le premier livre que j'ai lu de cet auteur ne m'avait pas convaincue, mais le résumé de celui-ci m'a poussée à lui donner une deuxième chance, et j'en suis bien contente. Une fille pas trop poussiéreuse est un roman que j'ai trouvé sensible, drôle, émouvant et dur qui fait ressortir ce qui est beau dans un monde défraîchi et terne. L'auteur démontre que la beauté de quelque chose ou de quelqu'un est davantage une question de perception et que, tout dépendamment des situations, notre vision change, évolue.
Au fil de la lecture, on croise la route de gens qui attendent la fin tout en se délectant de ce qu'ils peuvent, des petits bonheurs simples de la vie. Ce bouquin remet, par moment, des choses en place en semant des remises en question résultant à une certaine introspection. On prend conscience que nos trois ou quatre jours sans électricité ne sont, décidément, pas si pires que cela. Et si vous n'aviez pratiquement plus rien, que vous saviez que la fin du monde est arrivée, que feriez-vous de vos dernières heures?
Ce que j'ai préféré dans ce roman c'est l'écriture de l'auteur: sa façon de jouer avec les mots et les homonymes, de composer des phrases en plaçant les mots dans un ordre plutôt inhabituel. C'est un récit étonnamment beau et, contre toute attente, drôle avec des clins d’œil, disséminés ici et là, sur des personnalités (chanteur, coureuse, joueur de hockey) et des éléments assez connus. Le personnage principal, Matthieu, noue des liens avec les individus qu'il rencontre sur son chemin. Des liens de courtes durées, éphémères, mais forts. D'ailleurs, son amitié avec le jeune Thomas m'a définitivement touchée. C'est un roman qui invite à profiter du moment présent, des gens qui nous entourent et de ce que l'on possède. Un livre dont la simplicité partage un message puissant.
Merci à Librex
pour cette vision
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