Il est 10h30 quand son patron arrive à la boulangerie dans laquelle travaille Célia. Il lui fait un sourire et l’invite une fois de plus à diner. Mais Max est français, et la réputation des Français pour briser les coeurs n’est plus à faire... Quelle excuse va-t-elle pouvoir trouver pour l’éviter ? Et si elle mettait ses préjugés de côté, Célia ne serait-elle pas surprise ?
Il est 11h05. Célia est debout derrière sa caisse. Il va arriver, elle le sait. Il vient tous les jours depuis un an, toujours à la même heure. Il ne dit pas bonjour, ne sourit pas, ne la regarde pas et commande toujours la même chose. Célia se maudit de n’être qu’une petite serveuse dans le décor de cet homme d’affaires. Pourquoi aurait-il envie de la regarder après tout ? Et si le sort décidait de se mêler de la vie amoureuse de Célia Fowell et de tout renverser sur son passage tel un chien fou dans un magasin de porcelaine ?
Éditeur: Hugo
Distributeur: Hachette Canada
Genre: Drame / Romance
Parution: Janvier, février et mars 2019
Dans le premier tome, le cœur et la tête de Célia balancent entre deux hommes. Leur attitude si changeante la bouleverse. Tout comme elle, on a envie de les sortir de sa vie à coups de pied aux fesses en même temps que de les garder tout près d'elle, surtout Roman. Le comportement de ce dernier est aussi attirant que repoussant. Indéniablement différents et à l'opposé l'un de l'autre, les deux individus ont tout de même quelque chose à lui apporter qui lui fait du bien, sans aucun doute, mais beaucoup de mal également. L'imprévu qui s’immisce aura tôt fait de prendre sa décision à sa place. Célia a une grande force de caractère; moi, je me serais surement effondrée. Dans ce volet, un personnage haut en couleur est présent pour l'écouter: Mona. Comment ne pas l'aimer? Octogénaire et chipie à ses heures, mais si adorable. Célia, rejetée par sa mère, ne peut compter que sur elle pour partager ce qu'elle vit.
Dévoré en une journée à peine, le tome deux m'a déchiré le cœur dès le départ. Je ne pensais pas qu'il pourrait se tordre davantage, mais si! C'est d'ailleurs à cause de ma peine et d'un grand sentiment d'injustice qui m'a envahi que je l'ai lu si rapidement. Célia, célibataire, sans soutien ni travail, fait son possible pour joindre les deux bouts. Malheureusement, je n'ai pas compris tous les gestes qu'elle pose ni certaines réactions de Roman. Aussi forte soit-elle, elle a agi trop naïvement. Cependant, les émotions que ces deux êtres ont fait naître en moi étaient intenses.
Malgré tout ce qui lui arrive au fil des trois tomes, Célia se sert beaucoup de l'humour et de l'ironie pour garder la tête hors de l'eau et désamorcer les bombes. J'adore cette facette d'elle. De plus, l'omniprésence de Mona, tout au long de la trilogie, est juste parfaite. Certains personnages secondaires m'ont plu aussi, dont Béni et le trio de la tour (Mady, Viviane et Belinda) avec qui elle forge une belle amitié. Grâce à l'absence de filtres, ces filles apportent de la légèreté à cette série assez difficile émotionnellement. De petits détails font en sorte que j'ai parfois accroché, dont la facilité à laquelle se règlent quelques situations. Étirées sur plusieurs tomes, certaines trouvent une solution qui tombe du ciel, et le tout est résolu en deux temps, trois mouvements. Malgré une fin plutôt prévisible, c'est une trilogie qui ne manque pas rebondissements ni d'émotions. Préparez vos mouchoirs!
Merci à Hachette Canada
Dans le premier tome, le cœur et la tête de Célia balancent entre deux hommes. Leur attitude si changeante la bouleverse. Tout comme elle, on a envie de les sortir de sa vie à coups de pied aux fesses en même temps que de les garder tout près d'elle, surtout Roman. Le comportement de ce dernier est aussi attirant que repoussant. Indéniablement différents et à l'opposé l'un de l'autre, les deux individus ont tout de même quelque chose à lui apporter qui lui fait du bien, sans aucun doute, mais beaucoup de mal également. L'imprévu qui s’immisce aura tôt fait de prendre sa décision à sa place. Célia a une grande force de caractère; moi, je me serais surement effondrée. Dans ce volet, un personnage haut en couleur est présent pour l'écouter: Mona. Comment ne pas l'aimer? Octogénaire et chipie à ses heures, mais si adorable. Célia, rejetée par sa mère, ne peut compter que sur elle pour partager ce qu'elle vit.
Dévoré en une journée à peine, le tome deux m'a déchiré le cœur dès le départ. Je ne pensais pas qu'il pourrait se tordre davantage, mais si! C'est d'ailleurs à cause de ma peine et d'un grand sentiment d'injustice qui m'a envahi que je l'ai lu si rapidement. Célia, célibataire, sans soutien ni travail, fait son possible pour joindre les deux bouts. Malheureusement, je n'ai pas compris tous les gestes qu'elle pose ni certaines réactions de Roman. Aussi forte soit-elle, elle a agi trop naïvement. Cependant, les émotions que ces deux êtres ont fait naître en moi étaient intenses.
Malgré tout ce qui lui arrive au fil des trois tomes, Célia se sert beaucoup de l'humour et de l'ironie pour garder la tête hors de l'eau et désamorcer les bombes. J'adore cette facette d'elle. De plus, l'omniprésence de Mona, tout au long de la trilogie, est juste parfaite. Certains personnages secondaires m'ont plu aussi, dont Béni et le trio de la tour (Mady, Viviane et Belinda) avec qui elle forge une belle amitié. Grâce à l'absence de filtres, ces filles apportent de la légèreté à cette série assez difficile émotionnellement. De petits détails font en sorte que j'ai parfois accroché, dont la facilité à laquelle se règlent quelques situations. Étirées sur plusieurs tomes, certaines trouvent une solution qui tombe du ciel, et le tout est résolu en deux temps, trois mouvements. Malgré une fin plutôt prévisible, c'est une trilogie qui ne manque pas rebondissements ni d'émotions. Préparez vos mouchoirs!
Merci à Hachette Canada
pour cette histoire touchante
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