New York, veille de Noël. Une gigantesque tempête de neige met la ville hors du monde. Les communications sont coupées. Mike Mitchell, sa famille et ses voisins, se retrouvent sans eau, sans chauffage et presque sans nourriture. La loi du plus fort règne. Mike doit tout faire pour sa survie et celle des siens.
Éditeur: Fleuve Noir
Genre: Thriller post-appocalyptique
Parution: Novembre 2015
Parution: Novembre 2015
Pour commence, je dois dire que je l'ai trouvé lent à partir et le fait que les nouvelles à la télévision sont entrecoupées des discussions était mélangeant pour moi. Malheureusement, la multitude de termes techniques et politiques m'a empêchée d'apprécier le roman à sa juste valeur.
Parce qu'au fond, le roman a une bonne trame et l'auteur dès le début sait où il s'en va et où il nous amène. Cela démarre tranquillement jusqu'à une déchéance avancée et intense. Nous essayons de nous mettre à leur place et lorsque nous pensons aux jeunes enfants le cœur nous fait un tour. Quelque fois poussé à l’extrême, mais toujours avec une dose de réalisme qui nous donne la chair de poule, nous voyons le monde en pleine misère et nous ne pouvons que se demander si nous ferions différemment.
On s'attache aux personnages et on leur souhaite le meilleur pour ce qui est à venir. Alors que l'abattement est au seuil, chacun reste fort et nous les voyons se tenir les coudes et s'entraider. Je me suis inquiété pour la maman enceinte, pour le bébé, pour chacun d'eux et je prendrais Irena et Alexsandr comme voisin n'importe quand : je les ai adorés !!
Évidemment, on se doute que certains resteront derrière et c'est avec le cœur lourd qu'on se demande qui restera à la fin.
Pour terminer, mon côté sentimental mélangé à la finale de Matthew Mather m'a donné des frissons et des picotements dans les yeux.
Sur ce, allons maintenant faire des provisions !
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